Mon très cher,
cela fait vraiment quelques mois que j’essaie de recoller tous les bouts ensemble car il apparaît quelque part une petite incohérence que j’ai du mal à résoudre.
Vous finirez par m’accuser de chantage lorsque je ne fais que des blagues. Mais cela est un autre problème.
Non, je n’allais pas mourir. J’étais en train de tester ma resistance à la peur de mourir par finir pour découvrir que ce qui me faisait tellement peur était que je pensais que Rafael ne serait plus là, lorsqu’on part. Vous pouvez vous imaginer à quel point j’étais rassurée lorsque j’ai eu un aperçu partial de ce qui se passe là bas, même si je continuais à ne pas comprendre très bien à quoi je devais l’honneur de l’invitation. Je le comprendrais plus tard et j’ai même du avoir un peu honte de tant d’humilité un peu à côté de la plaque.
La question des coagules se résoudrait de manière très satisfaisante par une inflammation comme la votre et un peu de fièvre qui eu la vertu de les défaire de telle sorte à ce qu’il suffisait de prendre le chemin vers ici pour trouver le rémède adequat. Qu’est-ce qu’on ne peut resister, nous, les humains, lorsqu’on se demande bien à quoi on doit tant d’attachement à l’existence avec le peu qu’on sait en tirer.
La pierre de Benjamin est rouge et blanche comme cette étrange mixture qui nourri mon cerveau pendant tant d’années.
Je me demande bien ce qui a pu se passer après, même si je le sais, dans le fond, mais je vous avais déjà dit que pour moi, ces perceptions à la nature purement intuitive ne disaient qu’une moitié même si les choses avaient changé à nouveau. Les signes, ceux qui mènent à Jerusalem au lieu d’aller directement à Bethléhem, avaient fini par trouver le bon chemin et cela donnait une valeur objetive aux signes éparpillés sur le chemin.
Les lignes érotiques n’étaient finalement pas les miennes, fort heureusement, même s’il y avait une coincidence momentanée entre elles, ceci impliquant que nécessairement je devais prendre des serieuses distances d’avec ma tante qui m’avait ordonné tant de silence et oubli, et cela ayant pour conséquence cet énorme bordel que j’avais du mal à gérer, franchement. Tout compte bien fait, ma tante n’avait rien à me dire et il fallait faire preuve d’un peu de souveraine autonomie pour me défaire d’une influence, oui, quelque peu perverse. Mais quel ennui. Dans le fond mon rôle de petite fille languissant pour les bras de fer d’un surhomme en puissance à venir me convenait fort, et s’il finissait par se cacher dans la structure d’un état en puissance, pourquoi pas, ah, ayons donc au moins une lointaine représentation. Non pas que l’état en puissance ait finit par montrer une excessive puissance vu les failles qui se révélaient par tas selon que les jours passaient mais encore son image comme possibilité me réduisant à boire du café à Neu Schwanstein avait quelque chose de tellement rassurant en soi et de par soi que cela valait bien la peine que de le défendre coûte que coûte car je n’avais vraiment pas envie de donner des ordres à ma tante. Tandis que je défendais le fief en puissance de ma tante, je me demandais au même temps comment tirer profit de toute cette sale affaire pour en finir une bonne fois pour toutes avec cette espèce de larve se prenant pour un état, et à dire vrai je finis par estimer que toutes ces informations bien rangées devaient avoir un effet suffisamment convaincant comme pour propulser ma chère tante à la fenêtre le jour où les tanks arriveraient. Ne serait-ce que pour saluer, je veux dire.
Ma très digne souveraineté en puissance avait déjà délimité les territoires si bien que le chef d’état soumis aux lois se doublait d’une puissante parole faisant figure de grondement de tonerre qui disait exactement ce qu’il fallait dire lorsqu’il fallait le dire et avait substitué la modalité du progrès dans l’enseignement par examens par une espèce d’épreuve quand à la similitude des résultats ou la nouveauté de l’acquis intuitif de telle sorte à pouvoir justifier pas mal de ces nouvelles méthodologies si pratiques et efficaces sans cependant permettre que le n’importe quoi se fasse voix grâce à l’introduction des procédés quelque peu chaotiques et vulnerables aux tests scientifiques.
L’empire comptait donc avec trois tâches fondamentales: celle de la représentation extérieure où les magnifiques acquis de tant de bagarres se faisaient comme une espèce de mise en scène qui devait servir pour ordonner les structures de l’état, celle de l’ordonnation des populations nomades et autres à teneur semblable, qui vous correspondait donc dans mes projections hypothétiques, – le chef de la garde – et celle de l’évaluation des connaissances et acquis intuitifs ordonnée de manière rangée à sa manière, qui me correspondait à moi. Le titre de l’emperor pouvait se trouver des fois ici, des fois là, plus vers l’extérieur ou l’intérieur et des fois il y aurait même des mâles à s’introduire dans nos domaines, – on n’est pas comme cela, nous -, ceux-ci cependant ayant un rôle passif, dans le sens de devoir maintenir les acquis sans y introduire des changements fondamentaux qui seraient permis seulement si une femme prenait la place de l’emperor dans le domaine affecté. Selon ce qui se faisait tout seul, le titre de l’emperor passant à la deuxième fille d’Inès de la Fressange, affectée à la représentation, les changements et ajustements ne pouvaient se faire que là, tandis que si à la génération suivante le titre se trouvait dans mon domaine, les changements affecteraient les connaissances et leur structuration et autrement, les lois legislant sur les mouvements nomades. De manière régulière et pour éviter que ne se fasse trop de pression sur la succesion, le titre se transmettait en designant le successeur.
Logiquement le chef de la garde devait maintenir le rapport à l’état puisque les activités s’entre coupant en quelque sorte.
Vous voyez que même dans mon pitoyable état je pouvais me représenter que j’étais déjà soignée et donc continuer mes reflexions comme si on était déjà arrivés là, perspective qu’il fallait absolument obtenir pour savoir comment arranger les derniers détails entourant le moment où je récupererais la mémoire car le risque existait en effet de voir se produire un vide entre le passé et le présent, moi revenant d’un passé qui n’accrochait nulle part dans le présent et me fixant pour toujours dans une cage en verre de laquelle je ne pourrais plus sortir. Le problème était qu’il était difficile de savoir où vous en seriez vous, le seul interlocuteur au courant de tout ce processus quelque peu hilarant, surtout compte tenu du fait que vous n’étiez au courant que d’une partie minimale de tout ce qui se déroulait en plus derrière vos aimables épaules.
Je vais vous faire un petit dessein, quand même, pour que vous voyiez à peu près de quoi il s’agit. Prenons pour établi que l’on ne puisse ‘voir’ quelques réalités du passé soit parce qu’on en garde des petits chips, comme je disais, à l’intérieur de la colonne vertébrale, soit parce qu’il finisse par être quelque part aussi. Admettons, par ailleurs, que le déplacement de la conscience vers un endroit du passé ou un endroit mu par une certaine logique, ordonne les pas vers des gens se trouvant dans cet endroit du passé ou dans cette logique.
Attendez un peu, car je n’ai pas diné encore et je dois concentrer mes forces. Pour le dessein, je veux dire.
L’hypothèse de la descente aux enfers n’est pas en soi impossible dans les circonstances telles qu’elles sont données à ce moment là. La ‘lance de Michail’ (bleu) est une trace laissée par l’ange sur la particule bleue ratachée à une logique de liaison en magie noire qui attache la conscience aux lignes psychopathiques et aux enfers de manière rationnelle: de par les jugements qui se lisent en revers de par la trace laissée par Michail. Si le lien ‘malade’ est substitué par un qui soit sain, il est possible de penser une grille portée par quelqu’un en vie qui ordonne les enfers.
Un chip de mémoire avec projection d’avenir est inserée dans cet engin qui ratache les différents mouvements à des lieux géographiques dépendant des accords faits par des liens télépathiques utilisant les lignes basses avec différents interlocuteurs. Echelonné dans le temps, ces accords affectent un nombre plus ou moins large de populations.
Il est facile d’y aller mais difficile d’en sortir. Le ‘je’ conscient doit glisser vers un endroit où il s’identifie avec un Lazare ou énergie psychopathique provenant des lignes basses qui s’accouple avec la réalité extérieure de par la reconnaissance d’un certain nombre d’éléments contenus dans les conversations à l’extérieur (logique mise en scène introduite délibérément dans la logique de descente) ce qui produit une récupération de la mémoire mais reste sans attachement à la réalité sociale existant 20 ans plus tard. Le chip de mémoire partagé pour l’année 2009, jours x à z, déclenche le lien passif du modèle et produit un flux d’information qui rétabli les coordonnées de la conscience dans le temps contemporain
Reseau déjà existant en 1991 sans compter les lignes américaines qui s’ouvrent à ce moment là (Elvia) et qui impliquent la gestion du problème du sousmarin Krimhilde dans les Balkans et celui des ‘hordes barbares’ attachés par un lien de magie noire à l’inconscient de Tula, affectant environ 400 millions de personnes dans des domaines autonomes interagissant par des logiques d’accord, sans compter les bas mondes qui impliquent la gestion de forces psychiques équivalent à des milliers de millions d’âme, les unes un peu moins agitées que les autres – en logique d’induction et défaut structurel, environ 2.000 millions d’âmes
Je vais devoir conclure maintenant que ces étranges configurations qui permettent de fixer des réalités dans le temps sont les anges de Michail, des surbordonnés qui créent un environement adequat pour la mort, en tant que signe précurseur adequat à un signalement psychique ou trace de lien du mort à la cause de la mort au moment même de la mort. Je craignais bien que Tula était en train de lui piquer tous ces anges qu’elle ordonnait dans des échelles temporelles fixées et sans aucun lien avec Michail, en fait, juste parce que cela la faisait rire et pour faire une surprise à quelqu’un. La question est qu’aparamment Michail n’avait rien contre.
Je suppose qu’elle utilisa la mème stratégie por lui piquer ces anges à Michail que celle pour soutirer le secret du fromage à sa mère (en soi, condamné à mort). Cela ressemble à une verticalisation de la logique des signes (naturels, Chine; fragmentés, gitans; en lignes basses, psychopathes) de par l’association d’une image symbolique à un contenu étranger. De fait, toute la famille acquiesce finalement à ‘rouler dans la farine’ leur mère parce qu’enfariner quelqu’un ne veut rien dire en grec de telle sorte à garder l’apparence formel quand à la permission sans que personne ne sache de quoi il s’agit. Et c’est à peu près ce qu’elle semble faire avec Michail: comme qui présente une cause de mort qui couvre une blague et l’ange met les dispositifs en fonctionnement pour la cause de mort sans qu’il n’y en ait aucune. Je ne sais pas comment cela a pu arriver.
Deux choses cependant restent à élucider: je sais que la plupart de ces derniers textes révèlent des conversations qui n’eurent jamais lieu. En fait, moi je, très fière de moi, prends la logique detectée chez Anne-Hélène et qui contient des éléments qui finalement ‘réveillent’ Gabriel pour construire mon modèle sain, vous y ayant introduit pour créer une sauve garde de retour. Vous voyez qu’il est relativement facile de reproduire une possibilité de dialogue avec quelqu’un qui s’est fixé en paramètres relatifs d’identité, pour le refermer sur soi et le pousser à travers de mécanismes de repression vers le fin fond de l’inconscient (Mersin, Rhodes, Chypre). Cette reproduction dans un seul ‘je’ produit les ‘délirs prophétiques’ de Cappadoce. Mon programme ordonnant mon comportement et faisant que ma conscience réagisse à certains signes extérieurs et d’autres pas, est à l’intérieur de cela. Je mettrais 12 ans pour arriver au fin fond de l’affaire (1991-2003) et 6 ans pour retourner (2003-2009): l’axe de changement de cap est le troisième voyage à Jerusalem où je deviens un électron psychopathique issu des lignes basses qui se fraie un chemin vers la conscience en environment d’entendement. En fait je suis enfermée dans un programme fixé 20 ans avant lorsque et si je sors de mon dilemme.
Cette réalité apparait clairement en 1991. Je vous demande si ‘vous êtes d’accord pour activer ce chip en 2009’ et vous dites qu’oui. Vous allez même jusqu’à dire de vous fixer un programme aussi pour les 20 ans à venir et je vous dis que je n’ai pas les données suffisantes comme pour ne pas risquer de vous clouer dans l’espace réduit d’une chambre. Pour vous donner un exemple: mon programme ne peut pas contenir des conversations très détaillées avec personne car elles seraient fixées au mot par mot. Tula dit: ‘je veux parler avec toi quand tu arriveras’ et détermine 6 mois, un an, deux ans, où sa soeur se chargera de me raconter à peu près tout ce qu’elle a envie de me dire. Les dernières ressources d’échange spontané sont épuisés vers 1995: interactions en ‘x’ pour trouver Porsiak à Lape, interactions en ‘y’ pour trouver les chemins de la mort en Grèce et les dernières pratiquement pendant le deuxième chemin vers Jerusalem. S’est fini. L’insertion d’éléments de conversation pendant mes voyages à Paris se réduit à quelques lignes, le reste c’est de ‘phantômes’ qui ont des espaces de lecture ponctuels (ils ont le droit de lire un poème, disait Tula) à un moment ou un autre, mais dont je ne me souviens qu’à peine à cause de l’absence de personne.
Faire la même chose sans la possibilité de laisser un espace de lecture aux phantômes, sans connaissance de contexte, fait que l’extérieur disparait pratiquement en tant que espace interagissant avec l’intuition. Dans votre cas ou même dans celui d’Anne-Hélène, les insertions d’élèments du programme sont ponctuels: ici, – 1999 -, non il ne faut pas se jeter par la fenêtre, il faut aller au zoo voir les tigres. Par exemple. La circularité des logiques quand à leur profondeur permet d’inserer des éléments ponctuels qui semblent issus de tout contexte: en fait la conscience se meut dans une sphère de l’apparence superficiel dans sa relative spontanéité et ‘touche’ des lignes basses seulement dans des circonstances très rares. Lorsque la conscience, poussée par la pression extérieure ou intérieure recule en arrière, cela averti Tula, la garde de la garde, qui active l’un des ressorts mis en place.
L’idée était de créer un lien fictif dernier, ‘c’est intéressant cela’, vous avez dit ‘d’un point de vue scientifique’ qui permette l’insertion des données dans un contexte contemporain et donc prendre pied quelque part. Le problème était, (je ne vous ai pas dit) que la masse d’information dont je dispose en ce qui vous concerne est, malgré tout, très reduite: le comportement s’ordonne dans la conscience de ce qui apparaît comme finalité, qui n’est qu’un moment dans l’avenir, ceci déterminant l’ordre des choses dans le parcours. Que s’est-il passé, finalement? A mon avis un incongru n’importe quoi qu’il fallait analyser de plus près. «Vous voulez vraiment soubordonner votre existence à une telle découverte scientifique?» «Et oui, c’est intéressant.» «Vous me raconterez cela plus tard.»
C’est un fait que j’ai un peu de mal à ajuster les paramètres. Ma finalité espagnole qui se réduit à rire et se converti en une moquerie sans cesse quand à l’importance présumée de certains lorsque je me confronte pratiquement seule à la possibilité de soigner une peste, d’arrêter les hordes barbares, d’échapper à un trou noir, de résoudre le problème avec Sask et de finir ma maîtrise quand même pour garder les apparences, qui fait comme une espèce d’esprit de connivance avec Tula et bien d’autres membres du clan et marque les décisions au premier round (Heros de France) – je vais rire avec toi aussi, je disais à Sask qui trouvait tout cela horriblement drôle – se confronte à la nécessité de prendre une tournure plus serieuse un peu plus tard lorsque tous mes schèmes sont ébranlés par la nécessité de trouver un critère d’identification. Mais c’est trop tard. Même pouvant visualiser mon état 20 ans plus tard je ne peux plus altérer les décisions qui ont déjà été prise car elles impliquent l’accord de fois de milliers de personnes qui se chargent d’un aspect ou l’autre de la réalisation. Je n’ai pas les forces pour faire cela.
On verra bien ce qui se passe.
C’est certain qu’il y a des choses derivant de votre hypothèse qui ne me plaisent guère. Je fais un calcul approximatif des possibilités et vous demande «et même si ceci et cela arrive et ceci et cela?» Et vous dites qu’oui. Bien sûr que je ne prendrais pas au serieux quelqu’un dans votre état dans d’autres circonstances mais je n’ai pas vraiment le choix. Il y a cependant une chose que je ne considère pas: mes petites conversations avec moi même et la reproduction en Cappadoce vont nécessairement affecter un psychisme que se trouve en modalité ‘moitié libre’. Qu’est-ce qui peut se passer? Je ne le sais pas. Je lui jette à Tula, ‘garde des lignes moyennes’ – au moins en ce qui concerne les apparences – et lui laisse la gestion de votre réalité, ce qui peut resulter dans un autre petit n’importe quoi.
Vous allez bien finalement avec vos pantoufles?
Je crains que Tula ne vous ai condamné à une existence ascétique et monacale, – chacun comprend les choses à manière. Enfin, je vais y reflechir un peu pour voir si les services de contre espionnage de Tula m’avertissent de la nécessité d’une intervention éventuelle, – peut-être même pas. Si vous avez une question cependant quand au déroulement de votre existence, je puis éventuellement vous fournir une réponse adequate.
Je suppose cependant que vous devrez pouvoir résoudre tout cela tout seul comme un grand. Ne niez pas, en tout cas, que les acquis scientifiques soient d’une considérable valeur et cela pourra peut-être vous payer pour tant de peine, que j’espère n’était pas trop grande, mais avec Tula, on ne sait jamais. (‘C’est quelqu’un de serieux, Tula, alors fais gaffe.’ ‘Comme ma maman?’ ‘Euh, à peu près mais sans la rouler dans la farine.’ ‘Et si ma mère dit qu’elle va pas être la seule à être roulée dans la farine?’ ‘Euh … Bon. Il faudra le rouler dans la farine aussi, mais compte tenu de ce contexte ci.’ ‘Bon.’ – Et les choses en restèrent là.)
Et donc finalement vous allez entendre ma voix tandis que vous dormez, ne vous inquietez pas, cela fait partie du processus et considérez bien que vous ne récupererez vos esprits que lorsque vous réussirez à me joindre – c’est vous qui aviez mis cette condition sine qua non – (vous vouliez certainement me piquer toutes mes oeuvres pour que je ne manque pas d’un super splash sur le chemin de retour), et il sera donc nécessaire de considérer la reévaluation de la situation si vous voulez vous débarrasser de ma cauchemardesque présence. Je suppose que je dois l’être à la fin mais vous aviez dit que vous vous déterminiez de par ce que vous disiez. Les sousentendus en disaient largement autrement mais il ne fallait pas en tenir compte.
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